le magasin d'armes › si d'apparence, il s'agit d'une boucherie comme une autre, adressez quelques mots habilement choisis au commerçant, et vous comprendrez qu'il ne vend pas que de la viande. Dans l'arrière boutique, un étage plus bas, il s'agit d'un grand magasin d'armes clandestin. Vous y trouverez sans doute votre bonheur.

le magasin d'alcool › qui pourrait soupçonner cette petite épicerie, hein ? Le propriétaire est réputé pour être un homme bon, la vendeuse est aimable et souriante. Qui se douterait un seul instant qu'en arrière boutique, se trouve un stock important d'alcool ? On dit qu'il est illégalement importé des campagnes, personne ne sait vraiment d'où il vient, mais une chose est sûre ; ces bouteilles partent comme des petits pains.

le casino › dire que ce casino craint serait un euphémisme. En soit, le bâtiment n'a rien d'anormal ; la structure est correcte, le décor agréable à l'oeil, les croupiers excellent dans leur métier. La seule chose qui lui fait défaut est très certainement sa réputation ; de nombreux règlements de compte y ont eu lieu, puis, l'argent y circule facilement, ce qui fait qu'il peut être en proie à des braquages. Il est pourtant surveillé, mais par qui ? Surement par des truands de Chicago.

l'hôtel › certainement un des pires hôtels que peut proposer Chicago - si ce n'est le pire - le Black Liquor est bien loin d'être un cinq étoiles. Certes, les chambres ne sont pas chères, mais ne vous attendez pas à un service d'exception, ou des chambres d'un grand luxe. Une chose est sûre, si vous venez là, c'est que vous êtes fauché, ou que vous ne désirez pas être retrouvé.

la prison › la taule, le trou, le mitard. Autant de surnoms pour désigner la prison, ce complexe d'un gris terne. Le bâtiment est bien loin d'être avenant, et pourtant, il déborde de monde. Des plus petits aux plus gros criminels, c'est ici que vous finirez, si vous jouez mal avec les autorités. Il vaut mieux y connaître du monde d'ailleurs, les gangs ne sont pas tendres en eux.

les habitations › ils sont déjà loins, les jardins verts, les grandes maisons blanches, et le gentil chien qui rapporte le journal à son maître. Ici, c'est la vraie vie, adieu les paillettes, bonjour la misère. Il ne fait pas bon de vivre par ici ; les tapages nocturnes sont fréquents, de petits malfrats de bas étage se battent souvent. Il est bien loin, le rêve américain.