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 (M/LIBRE) HARDY, TOM - Notre amour est comme le vent. Je ne peux pas le voir, mais je peux le sentir.

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morals were looser n' the liquor was cheaper.




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Avery p² Au choix

Notre amour est comme le vent. Je ne peux pas le voir, mais je peux le sentir.


nom : au choix. prénom(s) : au choix, Avery pour le scénario. date et lieu de naissance : Chicago. âge : Entre trente et, trente-cinq ans. nationalité : américain et, au choix. activité professionnelle : au choix, mais c'est pas forcément un gentil, il est du milieu de père en fils. situation amoureuse : célibataire, veuf. orientation sexuelle : hétérosexuel. trait de caractère : attentif, dur en affaire, intolérant, bagarreur, impulsif, il ne parle pas beaucoup, violent, froid. groupe : au choix.


Avery est né pour reprendre le flambeau familial. Son père, ainsi que son grand-père et,les générations précédente, était dans le milieu et, c'est naturellement qu'à l'âge de treize ans il est entré dans le monde de la nuit de Chicago. Sa mère est morte quand il était jeune, à peine dix ans et, cela le marqua à vie. C'est sans doute le manque d'une touche féminine qui l'a rendu si bourru. Il a deux frères et, tous les quatre semaient la terreur dans la ville jusqu'au jour ou sa route croisa une jolie femme qui devint la sienne. A ses côtés il s'est adoucit sans doute un peu trop. C'était une chanteuse de talent. Alors qu'il était en conflit avec d'autre malfrats, sa femme devint la cible et, elle a été abattu sous ses yeux dans le bar ou elle travaillait. Cela fait maintenant deux ans qu'il recherche l'auteur de ce meurtre. Il a juré sur la tombe de sa belle qu'il l'a vengerait quoi qu'il lui en coute.


feelings don't walk away, people do.
FITZGERALD, JULES attirance, but commun.

Ce soir-là, Jules avait décidé de se rendre dans l’un des bars les plus mal fréquenté de Chicago. Elle savait que si son petit ami le savait il deviendrait fou. Elle n’était pas amoureuse de lui et, être à ses côtés était un vrai supplice, mais elle n’en oubliait pas son but principal, venger la mort de son fiancé. C’était un policier honnête et, alors qu’il était en infiltration, il avait été « balancé » et, finalement l’ordre de le supprimer était passé. Comme tout le monde le sait, une mise à mort à Chicago n’échoue jamais. Elle s’installa au bar et, commanda un cocktail. Vêtue d’une robe noire assez simple et, sobre, elle attirait déjà les regards. Ses yeux croisèrent ceux d’Avery et, son cœur manqua un battement. Elle avait fait assez de recherches pour savoir qu’il était très dangereux et, se frotter à lui n’était pas forcément une bonne idée, mais il pouvait aussi être une des clefs qui lui manquait pour faire tomber pour de bon celui, qui aujourd’hui partageait sa vie, mais avait aussi orchestré le meurtre de celui qu’elle aimait. Avery, croisa le regard d’une jolie jeune femme. Un sourire presque invisible se dessina sur son visage. C’était la femme de son pire ennemi. Celui, qui avait décidé du sort de sa bien aimée. Celui qui avait fait assassiné sa femme. Il n’avait pas assez de preuve pour être certain que c’était bien lui, mais il avait de gros doutes. Il avait entendu dire qu’il s’était entiché de cette jeune femme qui sortait de nul part. Il savait que le père Fitzgerald était un taulier à Chicago, mais jamais il n’avait eu vent que ses deux filles et, son fils étaient entrés dans le milieu. Sans doute que cela avait changé. Il la fixa un moment, elle soutint son regard et, cela l’irrita quelque peu. Elle était jolie. Même belle. Mais le souvenir de sa défunte femme planait au dessus de lui, il savait qu’elle n’aurait pas aimé qu’il cherche à tuer une jeune femme pour la venger.  Elle s’obstinait à soutenir son regard et, il se leva, marchant d’un pas décidé dans sa direction. Jules, ne pouvait se défaire du regard d’Avery, elle avait entendu parler de lui à de nombreuses reprises et, elle avait enfin cet homme devant elle. Quelque part, il la fascinait. Elle avait eu vent du meurtre de sa femme et, elle ne pu s’empêcher d’avoir de la peine pour ce grand gaillard. En même temps, il lui faisait peur, mais elle avait apprit à ne jamais montrer son infériorité ou ses faiblesses. Il s’avança d’un pas décidé vers elle et, elle lui lança un regard franc et, déterminé. Comme on le lui avait apprit. Puis-je vous aider ? Il la regarda un moment, la toisant de haut en bas. T’es pas d’ici toi. Elle arqua un sourcil. Je suis pourtant la fille d’Emile Fitzgerald. Il l’attrapa par le poignet, jeta un billet sur le comptoir et, l’entraina dans l’arrière salle. Il la plaqua contre le mur, une main serrant sa gorge. Elle affichait encore un sourire insolant. T’es la femme de l’autre pourriture. Elle se débattait et, réussit à se défaire de son emprise. Ils restèrent un moment à se regarder, s’affrontant du regard. T’es pas comme les autres toi. Toi non plus. Depuis ce soir-là, ils se voient en cachette. Leur but ? Faire tomber l’amant de Jules. Pour cela, ils complotent, il lui apprend à se battre comme « un homme », ils s’échangent des informations, mettent des plans en place. Cependant, tout n’est pas si simple. Lentement, mais surement ils tombent amoureux l’un de l’autre. Pourtant, Jules refuse de l’admettre, elle ne supporte pas l’idée de « tromper » son ex fiancé, Avery de son côté, à bien trop peur qu’il arrive malheur à Jules. Il a trop souffert de la perte de sa femme.




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